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1. Borders of Salt 4:26 2. De la lune à la lune 4:00 3. The Promise of the Night 5:01 4. Ballad for Jenny 2:51 5. Few Words From You 5:16 6. Native Son 6:06 7. Distress Is on Its Way 5:22 8. Regarde autour 3:13 9. Stand Up Becassine 5:41 10. Borders of Salt (Instrumental) 5:03

Le Japon, bien qu'ayant une image futuriste pour bon nombre d'occidentaux, est un pays profondément ancré dans la tradition. Il y a des centaines de cérémonies et rituels, certains fêtent une récolte, d'autres le changement des saisons... Chacune des 47 préfectures japonaises organise ses propres festivals (matsuri), généralement pendant l'été. La musique et la danse font partie intégrante des festivités. La plus grande fête de toutes est peut-être le Shôgatsu, le nouvel an japonais. Contrairement à une grande partie de l'Asie de l'Est, les japonais célèbrent le nouvel an le 1er janvier, depuis 1873. Cet album réinvente une version instrumentale des célébrations d'il y a plusieurs siècles. L'instrument principal est le shamisen, un luth à trois cordes accompagné de flûtes traditionnelles (shinobue et nohkan) et divers instruments de percussion japonais.

Ils se connaissent depuis toujours et chantent ensemble depuis l'enfance. Alors, en même temps qu'ils ont appris à chanter, à harmoniser et à timbrer leurs voix selon l'héritage de leur région du Massif Central, les jeunes gens qui formeraient plus tard San Salvador ont appris une certaine liberté. Ils sont passés par le rock et le punk, se sont attachés à mêler des cuivres aux voix, avant de revenir il y a six ans à l'a cappella, qu'ils ont armé de deux toms et d'un tambourin. Leur polyphonie est aussi enracinée que créative, aussi "traditionnelle" que résolument contemporaine. Irrésistiblement, on monte avec eux vers la transe. L'auditeur se sent emporté loin dans un ailleurs du temps qui, curieusement, est aussi familier que dépaysant.

Polyphonies à l'huile de vidanges : 10 garagistes qui bricolent les répertoires traditionnels. Un engrenage bien rôdé de chants populaires en occitan et en français auxquels se mêlent sons d'atelier de mécanique et percussions.

"Les racines" est le dernier album solo du guitariste Vieux Farka Touré, et son premier pour World Circuit Records. Surnommé le "Hendrix du Sahara", Vieux a sorti à ce jour 5 albums solo acclamés par la critique, repoussant les limites de la musique traditionnelle ouest-africaine vers des territoires inexplorés. Enregistrés à Bamako dans son home studio, les grooves intemporels de l'album sont imprégnés de la musique traditionnelle de l'Afrique de l'Ouest, renouvelant cette musique traditionnelle du nord du Mali connue en Occident sous le nom de "Desert blues". La fougue de son jeu de guitare et l'urgence des messages de ses chansons lui confèrent une pertinence toute contemporaine.

Musique Pour Les Silences À Venir (1ère Partie) 6:05 La Fille Du Chemin Bleu 4:25 Avenue Du Hent Glaz 4:02 Les Lamentations De La Mer 6:20 Jesse Carpenter 6:36 Thème Pour Suzan 4:42 La Véranda Des Jours Sans Soleil 4:18 Musique Pour Les Silences À Venir (2ème Partie) 6:38

1 Bro Goz Ma Zadou : Jef Le Penven 00:00:12 2 Noelenn Brehed : Jef Le Penven 00:02:07 3 Naonteg - Spered Santel - Andro -Laeradeg -Ronds de Loudeac : Bagad Kemper 00:12:56 4 Gavotten ar menez (Ton Doub) : Fransou Menez 00:03:22 5 Gavotten mod Bigoudenn : JL Le Vallegant 00:04:13 6 Mazurka en sol et en mi : Dominig Bouchaud 00:02:46 7 Gwerz pontkalleg : Dominig Bouchaud 00:03:19 8 Blues : Dominig Bouchaud 00:01:31 9 Bonaparte's Retreat : Jean Pierre Lécuyer 00:03:19 10 Perak ? why ? pourquoi ? : Youenn Gwernig 00:03:49 11 En avant deux de St Jean Couesnon : Jean Baron 00:03:09 12 Aires de Pontevedra (Kmcd 87) : Patrick Molard 00:03:28 13 Jig a dreuz : Roland Becker 00:05:56

T. Salgueiro, née le 8 janvier 1969 à Lisbonne au Portugal, est une chanteuse portugaise de fado et de chanson populaire au sein du groupe Madredeus de 1987 à 2007. Maria Teresa de Almeida Salgueiro grandit à Lisbonne où elle chante du fado et de la bossa nova. En 1987, elle fait la rencontre du guitariste Pedro Ayres Magalhäaes avec lequel elle va former le groupe Madredeus. Elle est l'un des personnages centraux du film de Wim Wenders, Lisbon Story sorti en 1994. En 2007, elle décide avec Fernando Judice et José Peixoto de quitter le groupe Madredeus et de se consacrer à une carrière solo. Ce nouvel album est son 7ème et le premier depuis 2012.

Combinant des mélodies intemporelles avec une touche de folk contemporain, le chanteur et songwriter Ben Caplan explore sur son dernier album l'expérience des immigrants avec une profonde compréhension et une certaine ironie. Adapté de la pièce de théâtre musicale Old Stock: A Refugee Love Story qu'il a créée avec la dramaturge Hannah Moscovitch et le réalisateur et songwriter Christian Barry, cet album conceptuel reflète les problèmes modernes de l'immigration, de la perte, de l'amour, du sexe, et de la religion à travers des chansons touchantes à l'humour noir.

Archétype du song-writer, avec son instrument inventé en bandoulière (croisement entre un oud et une guitare), Niqolah Seeva s'est progressivement affranchi de toute forme de contrainte artistique, dans un inexorable exode qui l'a mené du rock'n'roll de ses débuts jusqu'à des territoires aussi divers que le Maghreb, le Moyen-Orient ou encore l'Inde. Toujours en quête de normes à reconstruire, l'auteur-compositeur est allé jusqu'à inventer une langue, là aussi hybride entre Orient et Occident (mélange d'anglais et d'arabe), pour décrire un univers fantasmé, comme un idéal de confraternité universelle, mais aussi comme un refuge, à bonne distance des pièges qui menacent habituellement le parcours d'un artiste indépendant dans une exploration des musiques du monde. Niqolah est un musicien que la soif d'aventures sonores n'a pas noyé dans des approximations ou des compromissions. En plaçant durablement sa création dans le champ du rêve, il donne à voir un univers singulier et intime, fait à la fois de son histoire personnelle et d'influences voyageuses. Ces influences, il les intègre dans une démarche systématique originale, plus proche de celle d'un peintre que de celle d'un photographe - observant la diversité des hommes sans jamais les traiter comme des objets de curiosité, mais bien comme des frères.