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01 Monde virtuel 02 Je dis aime 03 Onde sensuelle 04 A celle qui dure 05 Faut oublier 06 Le festival de Connes 07 Le mec hamac 08 Close to me 09 Emilie 1000 Volts 10 Qui est le plus fragile ? 11 Le complexe du Corn Flakes 12 Au lieu du crime 13 Bonoboo 14 Le commun des motels + Mama Sam

Avec ce nouvel album, enregistré avec son tout nouveau groupe espagnol Heart Band, Corea plonge de nouveau dans le côté latin de son héritage musical avec une étonnante collection de musiciens originaires d'Espagne, de Cuba, du Venezuela et des Etats-Unis. Tout au long de sa carrière, le claviériste et pianiste emblématique Chick Corea a exploré une richesse musicale allant au-delà des frontières géographiques et stylistiques. Au fil des décennies, il est revenu à ce qu'il appelle son "Spanish Heart" : les traditions espagnoles, latine et flamenco qui ont façonné de manière indélébile son incomparable son.

Un cheminement aérien et sensible vers une éclaircie intérieure... Dans l'univers de Rouge, trois pigments suffisent à déstabiliser les couleurs connues et nous entraînent dans une odyssée chromatique. Entourée de Sylvain Didou (contrebasse) et de Boris Louvet (batterie), la pianiste Madeleine Cazenave déploie sa palette sonore sans jamais s'emmêler les pinceaux. Il y a quelque chose de Satie, de Ravel dans les accents classiques, symbolistes, et à l'autre bout du spectre, les tons chauds-froids de Tigran Hamasyan, E.S.T ou Gogo Penguin. L'une des grandes réussites du trio, c'est cette manière unique de tisser une résille mélodique pour y tendre des lignes de basse et capturer le grésil percussif. A partir des compositions de Madeleine Cazenave, les trois alchimistes de Rouge cherchent ensemble, jusqu'à parfaire la vibration collective. Leur premier album "Derrière les paupières" évoque une traversée orageuse, un cheminement aérien et sensible vers une éclaircie intérieure. Avec une simplicité apparente, les musiciens créent les conditions de l'immersion contemplative et hypnotique, pour mieux nous entrainer au coeur du mystère : on plonge avec bonheur dans le velours noir d'Abysses et la mélancolie rock de Brumaire en passant par la joie jubilatoire d'Etincelles.

Enregistré en 2011 à St Gaudens textes en musique (voix, contrebasse, piano, saxophones, batterie)

Larry Klein, producteur quadruple lauréat d'un GRAMMY, qui a produit "River : The Joni Letters" d'Herbie Hancock, a monté un autre projet extraordinaire avec "Here It Is : A Tribute to Leonard Cohen". Cet hommage sincère au cher ami de Klein, le légendaire auteur-compositeur-interprète Leonard Cohen, présente de superbes interprétations de ses chansons par une formation impressionnante et éclectique de chanteurs invités, dont James Taylor, Iggy Pop, Mavis Staples, Norah Jones, Gregory Porter, Peter Gabriel, Nathaniel Rateliff, David Gray, Sarah McLachlan et Luciana Souza. Le groupe d'accompagnement n'est pas moins impressionnant avec un remarquable quintette de talents de jazz moderne comprenant le guitariste Bill Frisell, le saxophoniste Immanuel Wilkins, le pianiste Kevin Hays, le bassiste Scott Colley et le batteur Nate Smith.

Emile Parisien et Roberto Negro s'associent pour créer une musique inspirée, en hommage au 1er quatuor à cordes de G. Ligeti. Le jeune compositeur, György Ligeti (1923-2006) a écrit son premier quatuor à cordes, sous-titré "Métamorphoses nocturnes", durant les années 1950, sous l'influence nettement perceptible de Béla Bartok. Vouant tous deux une grande admiration à Ligeti, le pianiste Roberto Negro et le saxophoniste Emile Parisien - qui contribuent activement à la vitalité des musiques improvisées en France - se sont lancé un drôle de défi : adapter ce quatuor à cordes au piano et au saxo ! En résulte " Les Métanuits", dont la spontanéité organique n'a d'égale que l'intrépidité oblique. Fidèles à l'esprit iconoclaste de Ligeti, les deux trublions transfigurent la partition originelle sans en altérer la riche gamme expressive - tout au contraire.

Les flancs battus par des grooves venus de la soul des 70's tout exprès pour se joindre à Laurent Bardainne, Le Tigre s'est mis à jouer avec les percussions, à leur bondir dessus avant qu'elles ne viennent le taquiner. A feuler sur les touches duveteuses de l'orgue Hammond, à filer sur ses nappes aux reflets soul-jazz qui, quand le rythme de sa course ralentissaient, se transformaient en oasis dans laquelle lapper.